Argentine 1978 : football entre les camps de concentration

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C’est à l’Argentine qu’avait été confié l’organisation de la Coupe du monde de football 1978. Deux ans auparavant, un coup d’état avait instauré une sanglante dictature militaire. En France, mais aussi dans plusieurs autres pays, une campagne pour le boycott de l’organisation par l’Argentine se mit en place, initiée par des militants et militantes anti-impérialistes solidaires des peuples en lutte. Pas mal d’enseignant∙es d’Education physique et sportive, du SGEN-CFDT, de la tendance Ecole émancipée de la FEN ou encore proches de la revue Quel corps ? s’y impliqueront.


Cheminot retraité, coopérateur des éditons Syllepse, Christian Mahieux est membre de SUD-Rail et de l’Union interprofessionnelle Solidaires Val-de-Marne, il coanime le Réseau syndical international de solidarité et de luttes et participe à Cerises la coopérative et à La révolution prolétarienne. Membre du Mouvement football progrès (MFP) et diffuseur du Contre-Pied dans les années 70/80.


Affiche nationale du COBA. [Coll. CM]
Affiche nationale du COBA. [Coll. CM]

Dans les années 1970, les régimes dictatoriaux font régner la terreur en Amérique du Sud : au Paraguay depuis 1954, au Brésil et en Bolivie depuis 1964, en Uruguay et au Chili depuis 1973 et en Argentine à partir de 1976. Ce sont alors les années de l’Operación Cóndor : une campagne d’assassinats et de lutte antiguérilla conduite conjointement par les régimes militaires de ces six pays, avec le soutien des États-Unis. Dictatures, répression et assassinats de masse ont un même fondement : imposer une nouvelle phase du capitalisme, permettant la sauvegarde et le développement de ce système économique et politique, basé sur l’exploitation des travailleuses et des travailleurs pour le profit d’une infime minorité ; ceci, à l’échelle planétaire, d’où le colonialisme, l’impérialisme qui y sont liés. « Toutes les dictatures ont été caractérisées par la violence illégitime comme méthode, pour éliminer les possibilités de dissidence. Cependant, le régime qui s’est installé en Argentine avec le coup d’État de 1976 a été l’un des pires en termes de répression. Il a mis en œuvre les connaissances acquises à l’École des Amériques de Panama, et via “l’école française”, avec l’objectif d’éliminer physiquement tous les dissidents, toutes les dissidentes. La répression de la dictature argentine contre les militant∙es syndicales et politiques, les étudiant∙es, les réfugié∙es d’Uruguay et du Chili, est allée si loin qu’on a parlé d’une “méthode argentine” : enlèvements, tortures dans des centres clandestins de détention, disparition forcée de 30 000 personnes […] des centaines d’enfants ont été enlevés avec leurs parents, des bébés nés dans les centres ont été volés. [1] »


Affiche nationale du COBA. [Coll. CM]
Affiche nationale du COBA. [Coll. CM]

L’organisation de la Coupe du monde de football 1978 a été confiée à l’Argentine par la FIFA en juillet 1966 ; quelques jours auparavant, un coup d’État militaire, avec à sa tête le général Juan Carlos Ongania, avait instauré une dictature qui durera jusqu’en 1973. La prise de pouvoir par Videla et une nouvelle dictature militaire date de mars 1976. C’est donc deux ans avant l’échéance (juin 1978) que la question du boycott est posée, dans plusieurs pays, par des collectifs dénonçant la situation sur place. En France, c’est le Comité de soutien à la lutte du peuple argentin (CSLPA) qui lance publiquement l’idée en 1977. Quelque mois auparavant, fin 76, était créé le Centre international de culture populaire (CICP), porté par le CEDETIM [2]. En octobre 1977, le CSLPA publie une affiche et un autocollant : « Boycott de la Coupe du monde de football en Argentine ». Le 19 octobre, l’écrivain Marek Halter lance un appel dans Le Monde « à tous les sportifs et à leurs supporters qui doivent se rendre en Argentine : “refusez de cautionner par votre présence le régime, aussi longtemps qu’il n’aura pas libéré les prisonniers politiques et arrêté les massacres” ». Le 3 novembre, toujours dans Le Monde, le journaliste sportif Dominique Duvauchelle [3] interroge : « Irons-nous en Argentine ? […] On peut imaginer une solidarité internationale des équipes qualifiées posant un ferme ultimatum aux autorités argentines : “Notre participation contre la libération des prisonniers politiques ! Cent détenus pour une équipe !” On pourrait être fier de notre football ». Mais à propos des équipes qualifiées, à cette date, la sélection française ne l’est toujours pas. Le débat sur le boycott apparait aux yeux de beaucoup comme une affaire de principe, sans traduction concrète. Les choses changent à compter du 16 novembre : l’équipe de France bat celle de Bulgarie, au Parc des Princes et se qualifie pour le Mundial 78. À l’entrée du stade des militant∙es du CSLPA distribuait un tract, « Argentine 77, championne du monde de la terreur d’État », que l’Équipe et L’Humanité mentionneront le lendemain.

Droite et PCF contre le boycott

Dès lors, les réactions s’enchainent. À peine le match fini, le président Giscard d’Estaing plaide bien sûr pour la participation à la Coupe du monde ; tous les membres de la majorité présidentielle, de la Droite, feront de même au fil des mois. Au lendemain de la qualification de l’équipe de France, 17 novembre, c’est le Secrétaire général du Parti communiste français (PCF) qui y va de son couplet ; Georges Marchais explique : « En ce qui concerne l’Afrique du Sud, je pense que le mouvement sportif se doit de prendre ses distances avec le régime d’apartheid, insupportable à nos yeux. Je n’accepte pas de discrimination raciale. Par conséquent, si la prochaine Coupe du monde devait se dérouler en Afrique du Sud, je dirais non. Mais quand on pose le problème des libertés, de leur mise en cause, ainsi que des droits de l’homme dans certains pays, je pense qu’il faut faire très attention, car, hélas, on risquerait, à l’Est comme à l’Ouest [4], de ne pas aller dans beaucoup de pays. Nous, communistes, estimons que ces droits et libertés doivent être défendus partout quand ils sont mis en cause. Si nous estimons que c’est le cas en Argentine, eh bien, défendons les libertés là-bas comme ailleurs. Ce ne serait pas une bonne solution de déclarer forfait, car cela ne résoudrait pas le problème posé ». Toute la presse donne un grand écho à cette déclaration, qui désavoue le boycott. Le 12 janvier 1978, au lendemain d’une conférence de presse du Comité pour le boycott de l’organisation par l’Argentine de la Coupe du monde de football, L’Humanité sera encore plus clair : « Quelques personnalités, dont certaines donnent l’impression d’agir plus par anticommunisme que pour des raisons d’ordre moral ou par souci des droits de l’homme, ont tenu une conférence hier à Paris. Les communistes français estiment que proposer le boycottage du Mundial relève de l’irresponsabilité ou de la manœuvre. »

Le Parti socialiste prendra une position différente, en décembre : « Il faut jouer la Coupe du monde si possible ailleurs qu’en Argentine ». Pour le Mouvement des radicaux de gauche, alors troisième composante de la gauche de l’ex-Programme commun, « la morale, ce serait de boycotter l’Argentine où se multiplient disparitions, tortures et détentions arbitraires. La décence, ce serait au moins de refuser d’aller à Buenos Aires, tant que le gouvernement argentin n’aura pas fait connaître le nombre exact des prisonniers, leur lieu d’incarcération et les motifs de leur détention. »

Le COBA

Sur l’initiative du CSLPA, une invitation est adressée aux divers comités anti-impérialistes et à toutes les organisations syndicales et partidaires du mouvement ouvrier. Le 10 décembre, une première réunion a lieu, qui adopte l’objectif du boycott. Une semaine plus tard, le Collectif pour le boycott de l’organisation par l’Argentine de la Coupe du monde de football (COBA) est formellement constitué, l’appel fondateur est lancé.

« La Coupe du Monde de Football, prévue en Argentine en juin 1978, aura-t-elle lieu entre les camps de concentration ? L’équipe de France de football, qualifiée le 16 novembre dernier, jouera-t-elle à huit cents mètres du pire centre de tortures du pays ? C’est en effet la distance qui sépare le stade de River Plate, où doivent se dérouler plusieurs matches de la Coupe du Monde, de La Escuela de Mecánica de la Armada (École de mécanique de la marine), siège du sinistre Grupo de Tareas 3-3, véritable Gestapo argentine composée de 314 officiers et soldats de la Marine. Depuis deux ans que ce groupement sévit, des centaines d’hommes et de femmes y ont été atrocement suppliciés, brûlés au chalumeau, coupés vifs à la scie électrique, écorchés vivants, etc. C’est aussi de l’École de mécanique que décollent les hélicoptères qui vont jeter les corps mutilés dans les eaux du Rio de la Plata ou de l’Atlantique.


L’Epique. [Coll. CM]
L’Epique. [Coll. CM]

En Argentine, depuis plus de deux ans, au moins 8 000 personnes ont été emprisonnées, le plus souvent sans aucune procédure judiciaire, et 15 000 ont “disparu”, selon les chiffres d’Amnesty International. On estime d’autre part de 8 000 à 10 000 le nombre de personnes assassinées par les forces de l’ordre dans la même période. Cela, il ne faut jamais l’oublier.

La junte militaire argentine, qui impose par des méthodes nazies une politique de misère sans précédent, a fait de la Coupe du Monde de Football une affaire d’État, comme en témoigne l’engagement total du gouvernement par-dessus la tête des organisations sportives, et l’intervention omniprésente de toutes les forces répressives dans l’organisation de la Coupe. Il s’agit pour elle, d’une part de restaurer son image internationale ternie, d’autre part de renforcer son autorité et sa cohésion sur le plan interne. Le régime tyrannique du général Videla se heurte en effet, depuis le coup d’État du 24 mars 1976, à la résistance populaire : grèves, sabotages de la production, coulage des cadences, manifestations de mères de détenu(e)s et disparu(e)s, se multiplient contre la faim et l’arbitraire.

Dans ces conditions, devons-nous cautionner la junte militaire argentine, qui fait de la Coupe du Monde de Football un nouvel instrument de son régime de terreur ? Est-il tolérable que des centaines de millions de dollars soient dépensés dans une pure opération de prestige, alors que le pouvoir d’achat des travailleurs est tombé en deux ans de 65 %, que l’inflation atteint des taux records, et que le chômage frappe 15 % des travailleurs ? Pouvons-nous accepter que se tienne une fois encore, comme à Berlin pour les Jeux olympiques de 1936, un rassemblement sportif international servant de caution à une dictature fasciste ?

Dans les conditions actuelles de répression en Argentine, le boycott de ce pays comme organisateur de la Coupe du Monde de football nous paraît la seule réponse conséquente et responsable. On ne jouera pas au football entre les camps de concentration et les chambres de torture ! La Coupe du Monde ne doit donc avoir lieu ni en Argentine ni dans un autre pays où les Droits de l’Homme sont bafoués. Le Comité pour le Boycott de l’Organisation par l’Argentine de la Coupe du Monde de Football multipliera les démarches et les initiatives pour que l’équipe de France ne se rende pas en Argentine ni dans un pays où les libertés démocratiques ne sont pas respectées, à moins que d’ici là, la Junte militaire argentine ne libère tous les prisonniers politiques, y compris les “disparus” ; ne rétablisse de manière intégrale et définitive les libertés politiques, syndicales et démocratiques.


Manifestation parisienne pour le boycott. [DR]
Manifestation parisienne pour le boycott. [DR]

Nous appelons tous les sportifs, les amateurs de football, les journalistes, les mouvements de jeunesse, les militants politiques et syndicaux et leurs organisations, les associations de défense des Droits de l’Homme, tous les démocrates et progressistes, à rejoindre ou à soutenir l’action du Comité pour le Boycott de l’Organisation par l’Argentine de la Coupe du Monde de Football. Nous souhaitons et favoriserons une large coordination internationale des initiatives de boycott de l’organisation par l’Argentine de la Coupe du Monde de Football (Suède, Espagne, Italie, Pays-Bas, Écosse, etc.). »

Au cours du premier semestre 1978, le COBA mène une campagne très active : tracts, communiqués de presse, affiches, conférences de presse, reportages vidéo, montage, diapos, rassemblements, manifestations… Le 23 mars, 2 000 personnes se rassemblaient devant l’ambassade d’Argentine. De nombreux meetings furent organisés à travers le pays (2 000 personnes à Paris, le 2 mai). À quelques jours de l’ouverture de Mundial, des manifestations ont eu lieu dans des dizaines de villes françaises ; celle organisée à Paris, le 31 mai, rassembla 10 000 manifestants et manifestantes.

3 numéros de L’épique, plagiant le quotidien sportif L’équipe qui s’oppose au boycott, sont réalisés par le COBA ; chacun d’entre eux est vendu à plus de 120 000 exemplaires. Une brochure de 32 pages, publiée en janvier 1978, illustre le travail d’information qui est mené. Au sommaire : Pourquoi le boycott ? – Sport et politique – Berlin 1936 – Argentina 78, un Mundial pour cacher misère et répression du peuple argentin – La répression en Argentine – L’École de mécanique de la Marine – Revue de presse – L’appel et ses soutiens.

La campagne était internationale : une coordination européenne a fonctionné, notamment avec les groupes de Suède, de Belgique, Hollande, Italie et Espagne. Bien évidemment, le COBA et nombre de ses composantes étaient en relation étroite avec des organisations argentines.

Le boycott et les organisations syndicales

Lors de sa publication par Le Monde, le 19 février 1978, l’appel est signé par une vingtaine d’organisations, dont seulement cinq syndicats : trois structures départementales (FEN Indre et Pyrénées-Atlantiques, SNEP Indre) et deux syndicats nationaux, le syndicat national des bibliothèques affilié à la FEN et le Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN) de la CFDT. D’autres structures CFDT et FEN (surtout du courant École émancipée) rejoindront la campagne, mais cela restera minoritaire. Côté CGT, les engagements furent encore plus rares, hormis le syndicat CGT des correcteurs. Mais l’implantation des collectifs locaux du COBA se retrouve aussi à travers le mouvement syndical ; pour exemple, un tract cosigné par le « COBA Saint-Lazare » et les syndicats locaux CGT et CFDT des cheminots.

Le 1er février, par la voix d’André Allamy, membre du Bureau confédéral, la CGT avait fixé le cap : « La CGT n’a jamais ménagé ses efforts pour dénoncer les conditions faites au peuple et à la classe ouvrière argentines. Elle n’a cessé de leur apporter sa solidarité agissante. Naturellement, nous avons été sollicités pour participer à l’organisation du boycottage de la Coupe du monde. Mais dans le cas précis, nous considérons qu’il y a mieux à faire. Nous aimerions que les mêmes combattent l’opiniâtreté que nous y mettons l’apartheid en Afrique du Sud et les menées racistes dans notre pays. D’autant que les démocrates et syndicalistes argentins nous ont fait savoir qu’il était utile qu’à l’occasion de la Coupe du monde nous fassions connaître la réalité de ce régime des généraux. » La basse attaque sur l’apartheid et le racisme n’a bien sûr aucun fondement : « les mêmes » dont parle André Allamy étaient sans ambiguïté vis-à-vis de ces combats ! Par ailleurs, nombre de militant∙es du COBA et de ses collectifs locaux étaient membres de la CGT. Quant aux « démocrates et syndicalistes argentins », qui veulent que le Mundial se tienne dans le pays qui est aux mains des militaires, ils existent ; ce sont du Parti communiste argentin. L’Argentine est le premier partenaire commercial de l’URSS en Amérique latine ; en mars puis en août 1977, l’URSS s’opposa à une condamnation de l’Argentine et à toute enquête sur son territoire…


Appel à une manifestation à Toulouse. [Coll. CM]
Appel à une manifestation à Toulouse. [Coll. CM]

Le 12 janvier 1978, Jean Bourhis, secrétaire confédéral CFDT, décline la proposition de soutien au boycott, dans un courrier adressé au COBA : « La CFDT et ses organisations profiteront, sous leur responsabilité propre, de cette manifestation sportive pour dénoncer avec plus de rigueur les disparitions, les enlèvements, les tortures, les assassinats et pour affirmer la solidarité de la CFDT et de ses adhérents avec la lutte intérieure et extérieure, de l’opposition syndicale et politique en Argentine pour la liberté, la démocratie, les droits de l’homme. » Ce sera la position de la majorité des structures CFDT ; toutefois, elles s’impliqueront massivement dans le travail d’information sur la réalité argentine. Ainsi, l’Union région parisienne CFDT publie une brochure intitulée Argentine : au pays des disparitions et des tortures. En introduction, il est indiqué : « […] il ne suffit pas de prendre une position, encore faut-il être en mesure de mener une action de masse avec les travailleurs pour la rendre efficace. Des organisations ont prévu des débats, soit en soirée dans les UD, les UL, soit pendant la pause du déjeuner dans les entreprises. Ces initiatives doivent être multipliées […] un effort important de popularisation, de sensibilisation (tracts, panneaux, vente de la brochure…) peut être facilement accompli. Cette brochure est également un excellent moyen de poser les problèmes internationaux, de donner la dimension internationale des problèmes qui, trop souvent, fait défaut dans nos analyses syndicales. »

Bilan d’un échec

Certes, le boycott n’a pas eu lieu. De ce point de vue, la campagne est un échec. La complicité du patronat et du gouvernement français avec la junte argentine rendait le boycott difficile à atteindre. Elle s’est appuyée sur un accès de chauvinisme pour « le soutien aux Bleus », qui cachait l’essentiel : les juteux contrats commerciaux et les ventes d’armes ! L’opposition du PCF, celle de la CGT, les réserves de la CFDT qui au plan confédéral n’a pas voulu s’engager pour le boycott, n’ont pas aidé.

Mais la campagne pour le boycott a été portée par près de 200 collectifs locaux COBA. C’est ce qui a permis près d’un millier de réunions publiques, « dans les lycées, les universités, les foyers de travailleurs, les maisons de jeunes, et dans les entreprises à l’initiative de sections syndicales de la CFDT, de la CGT et de la FEN  [5] ». L’écho de la campagne a été réel à travers les médias, mais aussi au sein des organisations du mouvement ouvrier. Soutenues ou combattues, les informations et les positions développées par le COBA ont permis que la situation en Argentine soit connue de large part de la population.


Christian Mahieux


[1] Nara Cladera, « L’Ecole des Amériques, école des violeurs des Droits Humains », Les utopiques n°21, éditions Syllepse, hiver 2022.

[2] Créé en 1967 sous le nom de Centre d’étude du tiers monde, renommé dans les années 70 Centre d’études anti-impérialistes ; aujourd’hui, c’est le Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale. Voir www.reseau-ipam.org

[3] Dominique Duvauchelle (1952-1982) a écrit Le football, le plaisir, la violence, éditions Le solitaire, 1979.

[4] « A l’Est comme à l’Ouest », mais le même Georges Marchais n’a cessé de défendre « le bilan globalement positif » des pays de l’Est, vantant à de nombreuses reprises l’Union soviétique, appuyant l’invasion de l’Afghanistan par l’armée russe, le coup d’état du général Jaruzelski et l’interdiction de Solidarnosc en Pologne, etc.

[5] COBA, Bilans et perspectives, été 1978.

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